La question Est ce que tu es faite ou pas pour le métier, que tu aies fait ou pas pour le métier de naturopathe? J’ai senti ces derniers temps que c’était une question, mais plusieurs d’entre eux visent plusieurs à poser cette question est ce que je suis vraiment faite pour ce métier? Ce que je suis vraiment fait pour ce métier que je donne ici, mon éclairage, je le dis de temps en temps. Ce que j’apporte, c’est mon point de vue.
Ce n’est pas la vérité absolue. Donc, si ça marche, tant mieux. Si ça ne marche pas, tant pis. C’est pas grave. Je ne n’ai pas une approche de deux gourous. Ce que tu as besoin de prendre, sinon tu as. Si c’est celle que tu as besoin de suivre. Donc, ce que je voulais dire, c’est que j’ai pris mes notes qui sont autour de mon ordinateur. Il y a plusieurs choses qui peuvent amener à penser que tu n’es peut être pas fait.
Ou peut être pas fait pour le métier de naturopathe. J’ai listé trois grandes choses récurrentes que je peux voir à travers les naturopathie que j’ai plaisir d’accompagner ou de rencontrer à travers ce groupe, entre autres. La première chose, c’est un client mal choisi ou pas, choisi du tout, qui te semble difficile à accompagner, du coup, mais dans une position, ça peut te mettre dans une position inconfortable. Par exemple, si t’es pas à l’aise avec sa pathologie, si la personne ne met rien en place pour lui donner les bons conseils, c’est elle mettre en place.
Ça ne peut pas avoir de résultat. Ou encore, s’il a l’impression qu’il faut toujours essayer de convaincre, convaincre la personne de quelque chose pour qu’elle puisse réussir à changer quelque chose dans son hygiène de vie. Ça inclinons mal choisi ou pas choisi. Ça peut amener à cette question, mais est ce que je suis faite pour ce métier? Une autre chose importante que j’ai pu constater pour moi et à travers plusieurs personnes que j’ai accompagnées qui m’ont parlé dernièrement, c’est un retour de vacances mal anticipé.
Qu’est ce que cela veut dire? C’est que parfois, quand on revient de vacances, on n’a pas envie d’être, n’a pas envie de s’y remettre. Ça ne veut pas dire pour autant que tu n’es pas faite pour ce métier. Je sais que certaines personnes chez qui ça met le doute, moi aussi, au début de mon activité, ça me mettait en doute. Ce que je fais, je le fais par passion et parfois, on va quand je n’avais pas forcément envie de.
Je me disais Bah, c’est pas possible. Si j’allais vraiment, si c’était vraiment fait pour moi, j’aurais envie de mettre mes pas du tout. Des fois, ça demande juste d’anticiper ce retour de vacances et de trouver quelque chose, une activité ou un moment de transition pour avoir cette énergie de retrouver ce flot et s’y remettre. C’est pas parce que tu n’as pas forcément envie de te remettre après des vacances que tu n’es pas prête pour ce métier. Et la troisième chose, c’est la comparaison.
C’est vraiment un truc qui peut flinguer ton état d’esprit en quelques secondes. C’est la comparer, te comparer avec d’autres naturopathe qui peuvent avoir l’air meilleures parce que par contre, ce sont de meilleurs techniciens. Ça peut te donner l’impression que tu n’es pas faite ou pas pour le métier de naturopathe. Et en préparant le light, j’ai pensé à une formatrice que j’ai eue pendant ma formation Turreau et qui était hyper à l’aise avec toutes les problématiques psycho émotionnelles et qu’il avait dit par contre, ne me posait pas de questions en anatomie physiologie parce que ce n’est pas du tout mon.
Mais comme elle assumait vraiment pleinement son potentiel au niveau psycho émotionnel et qu’elle le dit super bien, en fait, quelque part, on s’en foutait qu’elle soit peut être un peu moins bonne en physio parce qu’elle vibrait. C’était le psycho émotionnel et les gens venaient d’abord la voir. Donc voilà, c’est à partir du moment où on assume son identité et t’es pas obligé d’être excellent ou excellente dans toutes les techniques de la naturopathie. C’est très large, il y a beaucoup de techniques.
Ce qui compte, c’est de réussir à mettre en avant tout ce qui te fait vibrer. Donc voilà. Et puis aussi, je voulais te dire que pour moi, il y a un peu deux grandes catégories de naturopathie. Il y a les natures pures et dures qui ont une approche très classique, qui ne ressentent pas forcément le besoin de se spécialiser. Et pourquoi pas moi? Je suis pour la spécialisation, pour pouvoir démarrer, développer une activité plus rapidement, sortir son épingle du jeu.
Mais je comprends tout à fait qu’il y ait des personnes qui n’ait pas envie de se spécialiser. Moi, je suis OK avec ça. A partir du moment où tu peux me confirmer que tu es sans Coursan satisfaite ou 100% satisfait de ton organisation, de ton chiffre d’affaires, de ton alignement du temps, de l’énergie, tu passes à accompagner des clients, etc. Je peux tout à fait concevoir et je connais des personnes pas forcément matures, mais d’autres domaines qui ne se sont pas spécialisés et qui sont hyper heureux dans leur activité.
Donc la spécialisation, c’est une possibilité pour accélérer le processus et pour pouvoir vraiment se démarquer. Ce n’est pas du tout une obligation de manière d’obligation. Donc, pour moi, il est naturel, pur et dur. Les classiques et puis les autres se ressemblent. Quelque chose de plus grand qui donne l’impression qu’il a quelque chose de plus grand, qu’il les appelle. Ça, c’est des choses que j’ai pu croiser plusieurs fois, soit parce qu’ils ont d’autres centres d’intérêt.
Donc, par exemple, j’avais noté des personnes que j’ai pu croiser la fibre. Les auteurs sont auteur aussi. J’ai envie d’écrire des livres. Ils en ont déjà écrit Guide de montagne. S’ils biothérapies des choses vraiment complémentaires qui font que finalement, ils ne sont pas que naturopathes. Donc, ça peut être ça, quelque chose de plus grand qu’ils les appelle par centres. Pas parce qu’ils ont d’autres centres d’intérêt ou parce qu’ils voient. Ils ressentent qu’il y a quelque chose encore plus global que la naturopathie.
Finalement, ils ont le sentiment que la nature, c’est, ça les enferme un peu. Si, dans le deuxième cas, tu te sens qu’il y a quelque chose de plus grand que naturopathie, tu t’appelles l’homme si tu ne sais pas exactement quoi encore, peut être des chances pour que tu te sens un peu étriqué. Tu sent à l’étroit dans le métier de naturopathe que sont pas exactement à ta place, voir que tu te sens illégitime dans ce métier de naturopathe, ce qui peut te pousser à te demander est ce que je suis vraiment faite ou est ce que je suis vraiment faible pour le métier de naturopathe?
Sache que si tu ressent ça, tu tes passant à ta place dans ce métier là. Eh bien, ce n’est pas un problème, c’est même la solution. C’est ta solution pour aller justement explorer ce qui peut te rendre unique. Et parce que la naturopathie, finalement, c’est peut être juste un outil. Moi, ça m’est arrivé en formation quand j’étais avec ma copine Juliette en formation de naturopathie. Très vite, je l’ai senti. Elle aussi l’avait senti.
Je me souviens lui dire un moment donné, je sens déjà que la naturopathie, que je ne suis pas qu’un naturopathe, que c’est un outil qui va me permettre d’aller faire autre chose, de faire quelque chose de plus grand, de plus large, différent. Je ne soupçonnais pas du tout que je serais aujourd’hui en train de transmettre Béclers pour travailler ton positionnement professionnel et développer son activité. C’est l’univers qui m’a offert ça. J’adore. Donc voilà, c’est peut être que la naturopathie, c’est juste.
C’est un outil, pas juste un outil, mais c’est un outil parmi tant d’autres auquel tu es déjà formé ou bien auquel tu vas te former. Donc, ce que je te conseille, ce que je te propose, c’est de lâcher du lest et de prendre du recul par rapport à ce que tu a appris en formation de d’émanciper. Un peu de ça, parce que finalement, pour moi, ce n’est pas que tu n’es pas fait ou pas fait pour le métier de naturopathe, mais c’est peut être que tu n’aimes pas que naturopathe.
C’est peut être que tu naturopathie et quelque chose d’autre. Et pour le coup, franchement, c’est tout à fait tout à fait OK de ne pas vouloir rentrer dans une case et puis d’avoir une ambition plus large à partir du moment où tu t’y autorise.